vendredi 21 juin 2013

Démontage de mon futur pylône

Comme je l’avais déjà écrit en février dernier dans ce blog, j’ai enfin mon pylône. Toutefois, ce pylône que j’ai racheté à F5DHV, il fallait le démonter. Nous nous étions mis d’accord pour attendre les « beaux »jours. Malheureusement, les beaux jours de cette année se sont fait attendre. Bref, le démontage n’a, finalement,  eu lieu que le samedi 15 juin dernier.

Après un petit appel aux amis du radio-club F5KKD, j’ai eu spontanément plusieurs propositions d’aides.

Rendez-vous donc le samedi  chez F5DHV pour le démontage de la bête, un pylône ADOKIT triangulaire lourd autoportant de 13m avec F1BGY  Jean,  F0GYN Eric et Johan notre prochain F4.


La particularité de ces pylônes fabriqués dans les années 90, est qu’ils étaient, comme le laisse entendre la marque, en kit. C’est-à-dire que hormis la cage, tout est boulonné, traverses et croisillons comme le montre la photo suivante.


Arrivée sur place,  nous avons déballés les caisses, les outils et aussi les casques de protection, même un boulon de 13 qui tombe de 13m de haut peut faire des dégâts.



Pendant ce temps, F5DHV Alain, nous préparait nos costumes de la journée.



Arrivée de notre ami F1BGY qui, à ce moment-là, était encore serein.


Moi déjà moins, tout de même très concentré, en écoutant les conseils d’Alain pour procéder au démontage.



Et puis ben... il a fallu un volontaire pour monter avec moi car honnêtement, je ne voyais pas du tout seul en haut pour démonter la cage et descendre les montants, et finir tout ça en 1 journée. Et devinez qui a gagné ?


Encore souriant mais déjà un peu plus crispé. Puis, ce fut mon tour de m’équiper. Je ne faisais pas le fier non plus.


Commença alors notre ascension vers le ciel, je peux vous assure que ce n’étais pas le 7ème et que passer les 6 premiers mètres, nous n’étions fier ni l’un, ni l’autre…


La montée fut lente car à chaque pas nous prenions soin de nous assurer en ayant toujours un mousqueton accroché au pylône.


Mais, finalement, nous sommes bien arrivé en haut, il fallait alors trouver une solution pour travailler çà l’aise dans cette posture en répartissant le poid sur la tour.

Et ce fut au tour des outils de nous rejoindre en haut.


Et finalement, cette première difficulté (la montée) passée,  et pas encore totalement fatigué, nous n’étions pas si mal perchés en haut, la preuve !


Puis ce fut, la première difficulté du démontage cette fois, le démontage de la cage et sa descente. Là encore, nous n’étions pas vraiment rassurés, surtout que la maison d’Alain n’est vraiment pas loin, il ne fallait pas se louper !!!

D’abord, on s’attache bien pour avoir les 2 bras disponibles.


Et en route pour descendre la cage, d’abord, on déboulonne et on fixe le cordage …


Moment de tension, la bascule, faut pas se louper !     
       




Et le plus simple, la descente proprement dit… Mais quel tension au moment de la bascule de la cage !




Après, nous avons pu attaquer le démontage des traverses et des croisillons…


Et ça en fait des boulons !!!

Au début nous descendions les croisillons 2 par deux avec un cordage et nous mettions les traverses dans le sceau, mais fallait bien se rendre à l’évidence que cela serait long et que notre sceau était bien petit.
                  



Finalement, avec la permission d’Alain, nous avons fini plus simplement en laissant tomber les traverses et les croisillons dans l’herbe.

A midi, nous avions descendu la cage et fini les 3 premiers mètres de ce méccano géant.

Eric, puis Johan un peu plus tard, ont dû nous quitter car il avait d’autres contraintes.

Jean et moi avions, aussi, à ce moment-là,  besoin de repos. Alors avec Alain, nous sommes partis tous les 3 se partager une pizza dans un resto pas trop loin.

Reprise vers 14H30 avec tout de même encore 9 mettre à démonter. Toutefois, nous avions bien pris nos repères et la machine était maintenant rodée. L’après-midi, c’est Alain qui est monté avec moi pour finir le démontage.

Le démontage s’est terminé à 16H30, avec une grande fatigue mais aussi une certaine fierté !


Je ne remercierais jamais assez tous ceux qui m’ont aidé pour le démontage. Car, seul cela aurait été compliqué et irréalisable en une journée.


Merci, vraiment un grand merci à tous.

Merci aussi à Eric F0GYN, pour les photos du matin et à Jean pour celles de l'après-midi.

Les prochaines étapes, creuser le trou, fabriquer la chaise, couler la chaise dans le béton et remonter le pylône. J'espère pouvoir le faire en septembre mais je n'aurais pas qu'une seule journée et j'irais tranquillement, je vais réfléchir à un système de chèvre, y compris pour hisser les futurs aériens.

mercredi 13 mars 2013

F5RPN Radio Station


Recently, I was asked for pictures of my radio station.

Here are some pictures that I'll comment.

Firstly the antennas probably the most important part in an amateur radio station. However, mine are not fancy, but allow me to be active on all HF bands.


Below, on the photo, you can see the mast of 8 meters (26.2 ft) with my multi-dipoles and my Levy (or center fed) 2x20,6m (2x67.5 ft)

At the top of the house you can see the start of a 40 meter delta loop I'm testing right now but its installation is not optimum.

 
Finally on the roof above the TV antenna, we can guess the 13 elements VHF vertical but the rotor is, for the moment, stalled.
 



The same mast with my antennas in a other view.


On the next picture, it is one end of the Levy.

 
Then the station indoor... First the left side, mainly dedicated to the contacts in CW (and eventually in SSB) with my FT990, my PC and my CW key.


 
Then the right side, with the FT817 which I used for the digital modes (and sometimes portable), the FT290R for VHF and my working area.



Finally an overview of the radio station with accompanying ambient brothel.



And the final touch, the OM...


 Best 73 to all those who come to see this page.




lundi 4 mars 2013

Plus aucune excuse !

Voilà ! il est arrivé. Aussi beau que je me l'imaginais, Pietro Begali est un artiste.

L'objet en question ? Mon nouveau manipulateur, le modèle Pearl de Begali. Il vient complèter l'équipement de la station.


Je ne l'ai pas encore vraiment utilisé mais je n'ai plus d'excuses pour ne pas être performant en graphie...

J'ai tout de même utilisé ma lame de scie pendant quelques semaines avec quelques QSO à son actif.

Ce fut d'abord ma J37, puis ma lame de scie et pour l'avenir proche et moins proche (c'est tout de même pas donné ces petites choses) mon Pearl.


Je ne me ferais pas plus long sur mon blog aujourd'hui, je vais tout de suite tester plus à même cette nouvelle clé.

jeudi 21 février 2013

Enfin !!!

Depuis que j'ai commencé à pratiquer la radio d'amateur, j'ai toujours rêvé d'en posséder un mais je n'ai jamais eu les moyens de me l'offrir. C'est aujourd'hui chose faîte.

Bien sûr, ce n'est pas ce que j'aurais choisi si j'en avais eu les moyens mais l'occasion était vraiment belle.

De quoi parle-je ?

Ben de ça !


Il s'agit d'un pylône version lourd de F6DOK. Quelques-uns de ce type triangulaire ont été fabriqués dans les années 90. Il fait 4x3m + une cage de 1m et une flèche qui fait 4m en tout.

Il est encore dans le jardin de son ancien propriétaire.

Il m'a gentiment autorisé à attendre les beaux jours pour le démontage, cela me laissera le temps de trouver un peu d'aide.

Je n'ai plus qu'à engager les démarches administratives auprès de l'urbanisme puis à trouver une solution pour refaire une chaise digne de ce nom, m'occuper du béton et remonter le tout, quelques détails quoi. Je vise la fin de l'été pour arriver à remonter le pylône chez moi.

Voici quelques photos suplémentaires sur lesquelles vous pourrez remarquer que tout les éléments qui constituent ce pylône sont boulonnés (F6DOK avait appelé son entreprise Adokit, je confirme, c'est un vrai méccano !)






Il me reste encore à recevoir mon Begali Pearl commandé le 7 février dernier pour être comblé !

L'étape suivante sera de mettre des aériens digne de ce nom en haut de ce pylône.

A bientôt sur l'air...